Vitavistes d’hier ou d’aujourd’hui, ils et elles racontent leur expérience au sein de la rédaction du webzine des jeunes du Mans. Aujourd’hui : Nora Lake.
« Nous évoluons dans un cadre bienveillant et sans pression »
Dans quelles conditions avez-vous intégré la rédaction de Vitav ?
J’étais au lycée, c’était en 2016. Mamadi Sangaré, le rédacteur en chef, est venu pendant un cours d’arts plastiques pour présenter le webzine et son mode de fonctionnement. Le concept m’a emballé. J’ai alors pris contact avec le service jeunesse du Mans pour candidater comme pigiste.
« J’ai pu interviewer des artistes d’horizons divers »
Souvenez-vous de votre premier article ?
Oui, il s’agissait d’une chronique livresque sur Les chroniques lunaires de la romancière américaine Marissa Meyer. J’étais excitée et heureuse à l’idée de me dire que mon texte serait publié et que des personnes liraient mon article.
Quels sujets vous ont particulièrement marquées ?
J’ai apprécié les interviews. J’ai pu échanger avec des artistes d’horizons divers et de diverses nationalités. J’ai notamment participé au projet Booktube avec le service jeunesse et le réseau des médiathèques du Mans. J’ai adoré cette expérience et j’ai fait une belle rencontre avec une des bibliothécaires avec qui je suis restée en contact.
Que vous apporte le Vitav ?
Je m’épanouis pleinement dans cette activité rédactionnelle. Nous évoluons dans un cadre bienveillant et sans pression. Nous avons aussi la chance de choisir nos sujets. Notre travail de pigiste est valorisé, cela nous apporte beaucoup de confiance et c’est enrichissant.
Propos recueillis par Jaheli NAMAI.
Les articles de Nora Lake sont publiés ici.