Noémie : « Vitav ouvre des portes sur la culture »

Vitavistes d’hier ou d’aujourd’hui, ils et elles racontent leur expérience au sein de la rédaction du webzine des jeunes du Mans. Aujourd’hui : Noémie Courcelle.

Comment as-tu découvert le Vitav ?

Une de mes amies (Camille Dalicieux) était pigiste pour le webzine et chroniqueuse pour l’émission de radio. Elle m’a beaucoup parlé de cette initiative et son enthousiasme m’a donné envie de prendre part à l’aventure. Camille savait aussi que j’adorais le milieu culturel. Elle m’a confié que Vitav me donnerait l’opportunité de couvrir des événements.

Quel reportage as-tu proposé pour ton baptême du feu ?

Ma première chronique était consacrée au concert de Back To The Stone Age au Bebop Festival de novembre 2017. Comme je connaissais les musiciens du groupe, j’ai pu aborder cette première avec moins d’appréhension. J’ai enchaîné le mois suivant avec un reportage sur le premier salon du tatouage, au Mans et diverses expositions. Le fait de choisir les sujets me retirait une certaine pression.

Que t’ont apporté tes trois années de collaboration avec Vitav ?

Au fil des articles, j’ai gagné en confiance. J’ai pris conscience que je pouvais être légitime pour échanger avec des artistes. Les rencontres ont été bénéfiques. Les artistes m’ont encouragé à bouger. Grâce à mon article sur l’Eclipse Festival organisé par des étudiants du Mans, j’ai sympathisé avec Julie, une des organisatrices. Lors de son stage en Irlande, elle m’a invité à venir pour couvrir un festival sur place. J’ai notamment suivi les auditions de la Couveuse, le festival Garorock et j’ai interviewé le groupe de rap 47 TER.

Que fais-tu aujourd’hui ?

Après des études en LEA (Langues Etrangères Appliquées) au Mans Université, j’ai voulu profiter de mon année de césure pour mettre un pied dans le milieu culturel et artistique. Je suis actuellement stagiaire pour un festival de photographie intitulé Circulation(s) sur Paris. Je souhaite à l’avenir intégrer un Master dans les industries créatives, et plus particulièrement, les industries musicales.

 

Propos recueillis par Jaheli NAMAI.

Les articles de Noémie ici

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