Mon journal de bord en Ecosse (épisode 1)

« Je m’appelle Augustin, je suis originaire du Mans et je suis étudiant en agroalimentaire à Rennes. Je suis arrivé en Ecosse, dans la capitale, Edimbourg, le 14 septembre 2022 pour y effectuer un stage jusqu’à fin janvier 2023. J’ai décidé de proposer un journal de bord au webzine vitav.fr.

Fraîchement descendu de l’avion, je rejoins le centre-ville par un bus. Ma première tâche en arrivant a été de récupérer les clés de ma chambre, dans le quartier de Morningside. Il faut s’y prendre en avance pour obtenir un logement ici. Je loge donc dans un large appartement partagé avec dix autres colocataires, tous de nationalités différentes : Irlandais, Polonais, Bulgare, Dubaïote…

L’appartement n’est pas très loin du centre mais mon lieu de stage se situe dans la périphérie d’Edimbourg, sur le campus d’Herriot-Watt. J’effectue donc tous mes déplacements grâce au bus qui est le moyen de locomotion le plus répandus.

Dès le premier soir, je rejoins des étudiants en Erasmus. Je passe donc la soirée au pub avec des Italiens. La vie nocturne est très active, la ville regorge de pubs et de bars dansants.

Le lendemain, je décide d’explorer la ville, le symbole d’Edimbourg est son immanquable château surplombant la ville. Les rues sont bordées de bâtiments anciens à la pierre grise présente dans toute la ville. Une forte odeur embaume la ville, il s’agirait selon mes recherches du malt provenant des brasseries et des distilleries alentours.

La nature est omniprésente ici. Edimbourg est encerclées par les « Seven Hills » (Sept collines) et compte de nombreux parcs. L’un des plus grands, « The meadows », se situe proche de mon logement. Ce parc est composé de terrains de golf, d’aires de barbecues et de grandes étendues d’herbe toujours très verte grâce à la pluie.

Une météo des plus capricieuses

La météo est instable en Ecosse, Edimbourg est battue par les vents venant de la mer du Nord située en bordure de la ville. La pluie peut surgir à tout moment, leçon que j’ai apprise à mes dépends lors me première sortie sans K-Way. »

texte et photos : Augustin RÉVEILLÉ.

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