La jeune artiste mancelle se produit au 33e Festival Bebop, mercredi 6 novembre 2019, en première partie de Lou Doillon. Elle se livre sur son parcours, son meilleur souvenir scénique et ses projets.
Comment as-tu débuté la musique ?
J’ai commencé à l’âge de 10 ans par la clarinette. En grandissant, à 14 ans, j’ai écrit mes premiers morceaux en guitare-voix en autodidacte. Mon univers électro-folk est inspiré de différentes influences parmi lesquelles KT Tunstall. C’est avec elle que j’ai découverte que l’on pouvait réaliser ses morceaux en live. J’apprécie également Jain pour sa prestance scénique et Christine and the Queen pour ses rythmes et le choix des mots.
Depuis janvier 2019, je me suis lancé comme défi d’obtenir l’intermittence en un an. J’ai donc enchaîné les concerts, fait des rencontres. Et j’ai réussi ce challenge, je vais décrocher le statut.
« Mon meilleur souvenir scénique ? L’Oasis, en octobre 2018 »
Que signifie ton nom de scène ?
L’Azuryte est une pierre semi-précieuse qui agit sur plusieurs choses, notamment sur l’aspect créatif et émotionnel. Elle symbolise beaucoup pour moi, elle m’aide à aller de l’avant et à tourner la page sur les mauvais souvenirs.
Quel est ton meilleur souvenir sur scène ?
C’est en octobre 2018, lorsque j’ai joué à l’Oasis, au Mans, en première partie de L.E.J. C’était ma première grande scène, c’était impressionnant de me produire devant autant de monde. Les spectateurs m’ont accueilli chaleureusement, tout le monde me soutenait et criait mon nom. Je me suis sentie portée par le public.
Quels sont tes projets ?
Courant 2020, j’ai prévu de sortir mon premier EP. Nous travaillons sur ce projet et nous avons hâte de le présenter. Mais avant cela, je vais jouer au Bebop festival, en ouverture du concert de Lou Douillon.
Propos recueillis par Louka DOUTRE.
Photo de couverture : Sorenza Avont.
Mercredi 6 novembre, 20 h, Bebop Festival à l’Espace Athéna de La Ferté-Bernard (Sarthe). À l’affiche : Azuryte et Lou Douillon. Tarifs : 8 € à 20,90. Infos sur le site www.bebop-festival.fr.
Photo de couverture : Sorenza Avont.