Après une édition 2020 à huis-clos en raison de la crise sanitaire de la Covid-19, Stéphane Brunet raconte sa joue de retrouver le circuit Bugatti (Sarthe). Le Manceau de 44 ans vit à fond la 89e édition des 24 heures du Mans avec ses enfants.
A quand remonte votre passion pour les 24 Heures du Mans ?
A ma plus tendre enfance. Cela fait donc une quarantaine d’années. J’ai de bons souvenirs de mon adolescence où j’assistais à la course avec les copains. J’avais un faible pour la Jaguar XJR9, la Mazda 787B et la Peugeot 905. Ces voitures m’ont marquées.
Comment vivez-vous cette édition 2021 ?
Je ne suis pas allé aux vacances pour pouvoir vivre pleinement cet événement que je partage avec mes enfants. Après la frustration liée à l’édition 2020 à huis-clos, je suis heureux de retrouver l’adrénaline du circuit Bugatti. Je suis sur place depuis les essais du mercredi. Et j’ai assisté aux courses du samedi matin avant de parcourir des stands.
« Quel plaisir de vibrer de nouveau sur le Circuit Bugatti »
Comment se déroule l’ambiance ?
On ressent les effets de la crise sanitaire, car il y a moins d’animations, pas de fête foraine et la jauge de spectateurs est réduite. Même s’il y a moins de ferveur, le plaisir reste intacte et c’est une joie de transmettre cette passion à mes enfants. J’en profite également pour tester mon nouvel appareil photo.
Propos recueillis par Jaheli NAMAI.
Crédit photos : Stéphane Brunet.