Voyage à vélo en Irlande # 4 : Bien s’équiper !

Nous, c’est Céleste et Hugo ; nous sommes originaires du Mans et grâce à l’aide du “Coup de pouce”*, nous avons eu la chance de partir pour une épopée à vélo en Irlande ! Nous avons décidé d’écrire plusieurs articles pour donner un retour de notre expérience pour celles et ceux à qui cela pourrait donner envie.

Voyager c’est aussi partir équipé et léger !

« Ce n’est jamais facile de partir avec le strict minimum surtout lorsqu’il faut prévoir pour trois semaines consécutives de voyage ! Il faut en effet penser à avoir un peu de nourriture d’avance (le riz et le couscous font l’affaire), aux différents vêtements en fonction de la météo, au réchaud, aux casseroles, aux outils pour les vélos…

Mais le plus important est la gestion des équipements ! On préférera toujours les sacoches avant et/ou arrière au sac à dos, les sacoches de guidon ou le porte-bagage avant au panier de ville. N’oublions pas les petites sacoches qui s’accrochent de part et d’autre sur les vélos afin de ranger les outils ! Pour ce périple irlandais, nous étions munis chacun de sacoches arrières fixées sur un porte bagage arrière. Leur volume ? 21 et 24 litres chacune. Elles étaient à notre grand bonheur très logeables, mais surtout, très étanches ! Nos sacoches étaient assez faciles à poser et à enlever de nos vélos. Ce critère est important au moment de l’achat, mais il faut aussi s’assurer de leur étanchéité et leur solidité.
Une fois nos sacoches fixées sur nos vélos, nous devions attacher nos duvets et nos matelas de sol par dessus avec un tendeur, tout en ajoutant une cape de pluie pour les protéger des intempéries assez fréquentes. Quant à la tente, nous l’avons ajouté à la charge arrière à tour de rôle. Toute cette organisation peut paraître assez lourde, c’est pourquoi il est souvent conseillé de choisir une tente logeable et étanche, mais avant tout, très légère.

A l’avant de nos vélos, nous avions seulement un panier -nous ne le recommandons vraiment pas pour les voyages en deux-roues- que nous ne pouvions pas trop charger de peur qu’il ne s’ôte du vélo.

Nos vélos n’étaient pas très sophistiquées mais suffisamment solides, réglés confortablement, munis de plusieurs vitesses et bien équipés pour que notre épopée ne se transforme pas en calvaire.

Pensez aussi à prendre de la corde pour faire sécher le linge ! »

A suivre…

Texte et photos de Hugo DELARUE et Céleste BOULAY, en Irlande.

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