Situé à une vingtaine de kilomètres du Mans, Roëzé-sur-Sarthe séduit par son cadre bucolique, traversé par la rivière Sarthe. Le calme qui règne ici, entre nature verdoyante et patrimoine historique, en fait un lieu apprécié pour les balades et la détente.
Une nature omniprésente
Au bord de l’eau, les promeneurs peuvent profiter d’un cadre champêtre. La Sarthe, paisible et bordée d’arbres, accueille parfois des embarcations de loisirs. Un peu plus loin, une écluse en pierre témoigne de l’activité fluviale d’autrefois. Ces éléments font de Roëzé un lieu propice aux balades à pied ou à vélo, mais aussi, à la contemplation.
Un patrimoine qui traverse les siècles
L’église Saint-Étienne, imposante et construite en pierre de roussard, domine le centre du village. Elle est le témoin silencieux de l’histoire locale. Juste à côté, le monument aux morts rend hommage aux enfants de Roëzé tombés pendant les conflits mondiaux. Ce lieu de mémoire, régulièrement fleuri, rappelle le prix de la paix.
Une commune tournée vers l’avenir
La mairie, moderne et lumineuse, reflète le dynamisme de la commune. Elle s’accompagne d’une médiathèque et d’un espace culturel accueillant des événements variés. Non loin de là, une grande salle polyvalente témoigne de la vie associative active du village.
Une localisation stratégique
Roëzé-sur-Sarthe conjugue avec justesse authenticité rurale et accessibilité moderne. Si la commune a su préserver son charme naturel, elle n’en reste pas moins bien reliée aux communes voisines. La vie y est rythmée par des événements locaux et une vraie convivialité de village, qui séduisent autant les habitants de longue date que les nouveaux arrivants venus chercher un quotidien plus serein.
Un clin d’œil à l’histoire locale
Autrefois nommée simplement « Roëzé », la commune a officiellement adopté l’appellation Roëzé-sur-Sarthe en 1921 pour marquer son attachement à la rivière. Cette dernière fut longtemps un axe de transport essentiel pour les marchandises et les hommes. L’écluse encore visible aujourd’hui en est un vestige tangible.
Texte et photos : Mathieu MARTIN.