Le troisième opus, Avatar : de Feu et de Cendres, réalisé par James Cameron est arrivé dans les salles obscures mercredi 17 décembre 2025. Ce nouveau récit aux multiples retournements de situation plonge les spectateurs dans un sublime décor.

Si le deuxième volet, Avatar : la Voie de l’eau, sorti en 2022, abordait diverses questions sociétales, ce troisième film continue sur cette voie. Ainsi, suite à la mort de Neteyam, fils de Jake Sully et Neytiri, tous doivent gérer le deuil, certains par le silence, d’autres par la prière. Cette épreuve pousse les membres de la famille dans leurs retranchements et donne davantage de sens à la devise des Sully qui « se serrent les coudes et n’abandonnent jamais. »
Une nouvelle épopée, de nouveaux combats
Le récit commence avec le départ de la famille de Jake vers la base des humains alliés aux Na’vis. Pour se faire, ils partent avec les marchands du vent. Un nouvel ennemi apparaît alors, le peuple des Cendres, s’en suivent des combats et une lutte pour la liberté et l’union familiale.
Avatar : de Feu et de Cendres soulève plusieurs problématiques telles que le goût pour la destruction et la vengeance, mais aussi, l’importance des liens familiaux et pas seulement ceux du sang. Aussi, il questionne la différence et le rejet de l’autre, l’amour et le pardon se révèlent alors fondamentaux.
Ce troisième volet est donc un parfait mélange d’émotion et d’action où se développe un entrelacs d’histoires. Chaque personnage est mis en lumière pour mieux révéler le pouvoir de l’unité autour d’Eywa, la Grande Mère et divinité des Na’vis.
Un pari réussi
Les prouesses techniques visuelles couplées aux scénario et aux performances des comédiens font de cette production un pari réussi qui réunira les spectateurs pour une parenthèse imaginaire en lien avec le monde qui nous entoure.
Texte : Maéva VALLÉE PINOT.
Avatar : de Feu et de Cendres, réalisé par James Cameron, avec Sam Worthington, Zoe Saldana et Sigourney Weaver, décembre 2025. Durée : 3h17. Déconseillé au moins de 12 ans.
